Depuis le plus bas annuel observé le 1er juin, le CAC a repris près de 15% : 8,3% en juin, 3% en juillet et 3,7% en août. Le 21 août, l’indice phare de la place parisienne a même repris jusqu’à 19%. Les facteurs ayant soutenu ce mouvement de hausse sont essentiellement liés aux espoirs d’intervention de la BCE tant via une politique de détente des taux qu’un assouplissement quantitatif. Autre point clé qui a permis aux opérateurs de se détendre, le fait que le spectre d’un défaut de l’Espagne se soit pour le moment éloigné.
En termes de résultats des entreprises, excepté pour le CAC 40, le marché parisien n’a pas eu grand-chose à se mettre sous la dent étant donné que la plupart des publications débutent à peine. De l’autre côté de l’Atlantique, les annonces ont été plutôt positives et souvent au-dessus du consensus. Néanmoins, ce qu’il se passe chez l’Oncle Sam est difficilement transposable en Europe et surtout en France. A l’image des résultats affichés par les stars de le cote parisienne, il y a donc fort à parier que la tendance soit nettement moins favorable ou, du moins, que les résultats soient globalement en ligne avec les attentes.
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