Le mois de mai semblait parti pour être un mois proche de la perfection, avec une progression quasi quotidienne des indices jusqu’au 22 mai, date à laquelle l’indice phare de la Bourse parisienne a retrouvé les niveaux d’avant crise, soit ceux observés il y a plus de 10 ans.
La salve des résultats et des publications relatifs au premier trimestre finie, tout semblait aller pour le mieux. Mais comme souvent, lorsque le marché n’a plus grand-chose à se mettre sous la dent, il observe de plus près les déambulations de nos chers hommes politiques et là ils ont été servis.
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