Le mois de janvier s’était terminé dans la douleur du fait des interrogations suscitées par les effets à venir du coronavirus. Mais comme les marchés ne sont pas à une contradiction près, ils sont vite revenus sur leurs plus hauts (plus de 6 100 points pour le CAC 40) estimant, peut-être, que tout allait s’arranger rapidement. Mais voilà, les opérateurs ont découvert que le virus voyageait et là vent de panique. Ainsi, le CAC a perdu près de 10% par rapport au plus haut du 19 février.
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